Comment écrire un article de blog ? Après avoir écrit de nombreux d'articles sur mon blog ou ailleurs, j’ai envie de vous transmettre les principes de base rédactionnels pour écrire un bon article.
Ecrire un article de blog est bien différent d'une dissertation. Je vous fournis de nombreux exemples rédactionnels pour vous aider à améliorer vos écrits et la présentation de vos articles.

Pour écrire un article de blog, voici quelques étapes à suivre :

  1. Choisir un sujet : déterminez ce que vous voulez écrire et pour qui vous l'écrivez.
  2. Faire une recherche : pour vous assurer que vous avez des informations à jour et fiables, utilisez des sources de qualité pour vous renseigner sur votre sujet.
  3. Faites un plan de votre article : décidez de la structure de votre article, des sous-titres...
  4. Écrire : rédigez votre article en utilisant un style clair, concis et engageant.
  5. Relire et corriger : relisez votre article pour vous assurer qu'il est fluide et exempt de fautes d'orthographe et de grammaire.
  6. Ajouter des images et des liens : ajoutez des images et des liens pertinents pour renforcer votre contenu.

Pour la méthode rédactionnelle, vous pouvez lire cet article : Comment rédiger un article de blog

Ici, je vais surtout vous parler des règles de base rédactionnelles pour écrire un article aussi bien sur le fond que sur la forme.

SOMMAIRE

Règle N°1 pour écrire un article - Focus "lecteurs"

⇒ Répondez aux questions de vos  lecteurs

L'internaute est pressé d'obtenir l'information recherchée. Il est donc important de répondre rapidement aux questions les plus courantes de vos lecteurs :

  • Who : Qui ?
  • What : Quoi ?
  • Why : Pourquoi ?
  • When : Quand ?
  • Where : Où ?

On peut aussi ajouter ces deux questions :

  • How : Comment ?  
  • How much : Combien ?
écrire un article

Ces informations devront être livrées le plus tôt possible dans l'article (donc le plus haut possible) comme le montre l'étude de Jakob Nielsen auprès de 230 participants à l'étude menée sur leurs habitudes de lecture par la captation du mouvement des yeux.

On remarque que l'attention des lecteurs se focalise dans le haut de la page. Les yeux suivent une trajectoire verticale : il faut donc guider le regard.

Dès qu'un élément intéressant est repéré dans le cheminement vertical, l'utilisateur se détourne de sa recherche pour se faire à nouveau une opinion.

N'attendez jamais qu'un utilisateur se fatigue pour lire votre page. Un utilisateur « scanne » visuellement une page au lieu de la lire.

 Bien entendu, vous n'êtes pas obligé de répondre à ces 7 questions. Quelquefois, le qui et le quoi sont amplement suffisants.

D'ailleurs, ces questions ne sont pas toujours pertinentes en fonction de ce que vous avez à écrire. Mais bien souvent, elles peuvent vous aider à commencer la rédaction de votre article et, dans bien des cas, elles peuvent vous servir de guide.

Connaissez-vous vos lecteurs ?

Pour répondre efficacement aux questions de vos lecteurs, il est important de connaître leurs attentes.

Il est important de recueillir un maximum d'informations sur vos lecteurs afin de cerner leurs goûts, leurs centres d'intérêt, leur niveau d'études, leurs habitudes...

De cette manière, vous pourrez définir le profil de vos lecteurs en imaginant un persona (personnage virtuel).

  • Par exemple, si vous vous adressez à un public composé de spécialistes dans votre domaine d'activité, vous pouvez rédiger votre article tout en évitant certaines explications, car vos lecteurs n'en auront pas besoin : ils sont familiers avec les notions dont vous allez parler.
  • En revanche, si votre public est composé essentiellement de personnes n'ayant que peu de connaissances sur le sujet traité, vos écrits devront être compris par tous, et ce quel que soit leur niveau d'études ou de culture.

L'intérêt est de communiquer avec vos lecteurs en ayant la certitude qu'ils peuvent comprendre votre vocabulaire, vos idées.

Vous écrivez pour vos lecteurs et non pour vous. Plus vous intégrerez dans vos articles la psychologie de vos lecteurs, plus vous aurez l'assurance qu'ils comprendront chaque terme employé.

Un article réussi commence donc par la connaissance de son lectorat.
Ceci est d'autant plus important pour un article présentant un produit ou un service. Dans ce cas, vous devez savoir quels sont leurs besoins réels afin de lier ces besoins au produit ou service que vous vendez.

Règle N°2 pour écrire un article : écrivez simple

⇒ Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

Vos lecteurs doivent impérativement comprendre rapidement le vocabulaire que vous employez.
La lisibilité de votre texte passe donc par l'utilisation d'un vocabulaire le plus simple possible.

Rares sont les lecteurs qui prendront le dictionnaire pour rechercher la signification d'un mot. Et même s'ils le font, peu d'entre eux reviendront à la lecture de l'article.

L'objectif est d'écrire un texte compréhensible et accessible au plus grand nombre. Il faut donc, dans la mesure du possible, éviter d'utiliser :

  • un langage, un jargon trop bureaucratique, trop technique ;
  • les sigles, les acronymes ;
  • les mots étrangers (mots anglophones en particulier).

⇒ Simple n'est pas synonyme de simpliste !

Écrire simplement ne veut pas dire que vous ne pouvez pas utiliser toute la richesse de la langue française. Si vous utilisez un vocabulaire trop restreint, vous aurez inévitablement de nombreuses répétitions qui vont appauvrir votre texte et le rendre à coup sûr trop imprécis.

D'une manière générale, essayez de trouver les mots les moins généraux possible. Notre langue est riche, ce serait dommage de ne pas utiliser de synonymes.

Par exemple, les verbes courants de la langue française peuvent être facilement remplacés par d'autres ayant une signification plus précise.

Toutefois, faites bien attention au sens de la phrase lorsque vous remplacez un verbe usuel par un synonyme. Sans cette précaution, votre phrase peut avoir un tout autre sens...

Exemples de verbes usuels et leurs synonymes
(cette liste n'est pas exhaustive, mais peut déjà vous inspirer et susciter chez vous le réflexe d'élargir le vocabulaire que vous utilisez couramment) :

Note. Voici un outil avec intelligence artificiel qui génère des synonymes : Synonyma

De plus, faites bien attention à l'orthographe des mots, car certains se prononcent de la même façon, mais s'écrivent différemment.

Exemples d'homonymes :

⇒ Simple ne veut pas dire court

Plus la construction d'une phrase est simple, plus elle est efficace. Vous pouvez donc rédiger un article avec des longues phrases du moment que leur tournure et le vocabulaire utilisé est simple.

Les règles à suivre sont simples. Dans la mesure du possible...

>> Évitez les incises

Une incise est une proposition indépendante ou principale, courte la plupart du temps, qui coupe ou se joint à une autre proposition pour indiquer une sorte de parenthèse.

Exemples :

  • Leurs chats, et ils en avaient beaucoup, avaient chacun leur panier.
  • Je n'arrive pas à croire, dit-il, que tu as oublié ce que je t'avais demandé.

>> Évitez les parenthèses

Un peu comme pour les incises, si l'information qui est donnée entre parenthèses n'est pas d'une grande utilité, supprimez-la. Si cette information est utile, faites une autre phrase.

Exemple :

  • Sa voiture (un vieux modèle) avait besoin d'une réparation sérieuse.
    Sa voiture avait besoin d'une réparation sérieuse. C'était un vieux modèle acheté aux enchères sur eBay.

>> Évitez les subordonnées

Une subordonnée est une proposition qui dépend d'une autre proposition. C'est d'ailleurs bien pour cela qu'on l'appelle subordonnée (être subordonné à quelqu'un ou à quelque chose, c'est être dépendant).

Exemples :

  • Je lis lorsque je n'ai pas sommeil.
  • J'ai un chat qui miaule.

À noter : les propositions commençant par les conjonctions de coordination « mais, ou, et, donc, or, ni, car »  ne sont pas subordonnées, mais coordonnées. Pour vous en souvenir, pensez à la phrase : « Mais où est donc Ornicar? ».

>> Évitez les doubles négations

Principe de la double négation : une double négation équivaut à une affirmation. Cela peut constituer une complexité inutile et prêter à confusion.

Exemples :

  • Double négation : Tu ne peux pas ne pas refuser l'offre de Jean.
    Affirmation : Tu ne peux pas accepter l'offre de Jean.
  • Double négation : Sa façon de faire ne sera sûrement pas inefficace.
    Affirmation : Sa façon de faire sera sûrement efficace.

>> Préférez la voix active à la voix passive

La phrase active présente une action faite par le sujet ; la phrase passive propose une action subie par le sujet.

Exemples :

  • Phrase active : Le facteur a apporté cette lettre.
    Phrase passive : Cette lettre a été apportée par le facteur.
  • Phrase active : Ma mère prépare un gâteau.
    Phrase passive : Un gâteau a été préparé par ma mère.

>> Préférez les phrases affirmatives plutôt que négatives

La négation se forme en introduisant les formules :
ne... pas, ne... plus, ne... jamais, ne... guère, ne... pas encore, ne... point, ne... rien, ne... personne, ne... pas beaucoup.

Exemples :

  • Affirmative : Tu me déçois fortement.
    Négative : Tu ne me déçois pas.
  • Affirmative : Les absents ont toujours raison.
    Négative : Les absents n'ont jamais tort.

>> Préférez les constructions simples plutôt que complexes

La phrase simple est formée autour d’un seul verbe conjugué, il n’y a qu’une proposition.
La phrase complexe en possède au moins deux.

Exemple :

  • Phrase simple :
    Malgré vos bonnes intentions, vos propos risquent de froisser.
  • Phrase complexe :
    Vous avez de bonnes intentions, mais vos propos risquent de froisser !

Règle N°3 pour écrire un article : écrivez concis et structuré

Nous avons vu précédemment que la vitesse et la capacité de lecture d'un texte sont moins grandes sur un écran que sur un support papier.

La compréhension et la mémorisation d'un texte étant majoritairement proportionnelles à sa longueur, il est recommandé d'écrire des articles concis. En d'autres termes, un article bien construit doit utiliser uniquement les mots nécessaires. Cela ne veut pas dire que votre article doit comporter peu de mots...

⇒ Ecrire un article concis n'est pas obligatoirement un article court.

Souvent, nous entendons qu'un article court a plus de chance d'être lu qu'un article long.

Dans un sens, il est vrai qu'un lecteur « paresseux » sera plus à même de lire un article de 500 mots plutôt qu'un article de 2000 mots.

D'un autre côté, tout dépend :

  • de la pertinence de l'article, de son titre...
    Un article court qui répète le contenu traité sur de nombreux sites ou blogs, sans aucune touche personnelle, aura peu de chance d'être lu sérieusement.
    Un article long avec un contenu percutant sera, quant à lui, lu par de nombreux lecteurs.
  • du type de l'article, de la ligne éditoriale...
    Un site ou blog de news préférera faire du volume avec des articles courts afin de ne pas se faire dépasser par le temps et par l'actualité.
    Un blog ayant pour objectif de créer des discussions optera pour des articles longs présentant des analyses détaillées.

Prenons l'exemple de mon blog. Tous mes articles font au minimum 2000 mots.
C'est ma ligne éditoriale : écrire des articles complets, un contenu de référence, avec des exemples, des méthodologies pour que mes lecteurs puissent passer à l'action.

En résumé, la longueur d'un article n'est pas le paramètre le plus important pour être lu : il faut écrire des articles concis et pertinents !

Écrire un texte concis et structuré.

« L'écriture vigoureuse est concise. Une phrase ne doit contenir aucun mot non nécessaire, un paragraphe aucune phrase inutile, pour la même raison que le dessin ne doit pas comporter de traits inutiles ou une machine des éléments non nécessaires. Cela ne requiert pas que l'auteur ne fasse que des phrases courtes ou d'éviter tous les détails et de traiter le sujet seulement dans les grandes lignes, mais que chaque mot parle. » William Strunk, Jr.

Écrire un article concis signifie de réduire les phrases à l'essentiel tout en préservant l'information importante.

Pour ce faire, certaines règles sont à appliquer :

>> Évitez les pléonasmes, les redondances.

Un pléonasme consiste en une répétition de mots dont le sens est identique. Une redondance est un pléonasme excessif.

Exemples :

  • Il lisait, son livre ouvert sur les genoux.
  • Je monte en haut.
  • Je l'ai vu de mes yeux.
  • Actuellement en cours.

À noter :
Il n’est pas facile d’éviter les pléonasmes. C’est le genre d’erreur qu’on ne voit pas venir, qu’on ne soupçonne parfois pas du tout. Il y a de ces expressions qui sont tellement ancrées dans le langage populaire qu’elles nous font croire qu’elles sont correctes. Mais ce n’est pas toujours le cas.

>> Évitez les périphrases

Une périphrase consiste à dire en plusieurs mots ce qu'on peut dire en un seul.

Exemples :

  • La messagère du printemps → L'hirondelle.
  • Le septième art → Le cinéma.
  • Le roi des animaux → Le lion.

>> Privilégiez les phrases courtes

On estime que le lecteur retient lors de sa lecture environ 12 ou 15 mots par phrase. Une phrase de plus de 20 mots devient difficile à lire. En d'autres termes, n'écrivez pas comme Victor Hugo...

Si le lecteur mémorise environ 15 mots, il mémorise aussi mieux le début que la fin de la phrase.
Il faut donc placer l’information principale au début de votre phrase.
De même, allez droit au but dans votre propos. Structurez vos phrases simplement. Écrivez au présent. Faites des tournures de phrase actives. Affirmez les choses. Soyez direct.

Toutefois, ne poussez pas la concision jusqu'à l'extrême en rendant vos textes imprécis. Il ne s'agit pas de produire un texte le plus simple possible, mais de produire le texte le plus efficace possible en fonction de son auditoire, en éliminant les complications superflues.

Retenez
  • Choisissez dès que possible la phrase simple.
  • Choisissez des synonymes pertinents.
  • Écrivez des phrases ne dépassant pas 15 à 20 mots.
  • Pour découper les longues phrases, utilisez la ponctuation.
  • Variez la longueur de vos phrases pour donner un rythme à votre discours.
  • Utilisez des listes à puces ou numérotée

>> Structurez les paragraphes.

Il n'y a rien de plus désagréable pour un lecteur que de lire des paragraphes trop longs (plus de 10 lignes) construits avec des phrases à rallonge sans aucun relief.

La première chose à laquelle vous devez penser, vous l'avez deviné, c'est de construire votre contenu avec des petits paragraphes bien aérés dans la page Web.

Retenez
  • Écrivez des paragraphes courts, de 2 à 4 lignes (10 maxi !!).
  • Développez une seule idée par paragraphe.
  • Utilisez des intertitres pour relancer l'intérêt du lecteur.

>> Soignez les liens.

Votre lecteur aime savoir où il est et où il va aller. Il est donc important de porter une grande attention aux liens situés dans votre contenu.
Les intitulés de vos liens doivent permettre au lecteur de connaître la destination où il va se rendre s’il clique sur le lien. Un lien n’est pas une devinette. Le critère de prévisibilité est très important.

De plus, les liens sont exploités par les moteurs de recherche pour évaluer la pertinence de la page qui les contient... et de celle vers laquelle ils pointent. Leur intitulé doit donc être cohérent avec le contenu de la page qu'ils désignent.

Retenez
  • Évitez des liens comme « cliquez ici ».
  • Rédigez les intitulés de vos liens de manière concise et informative. 

La structure de votre article a une importance capitale en termes de lisibilité.
Plus votre article sera long, plus vous devrez mettre en valeur les parties les plus importantes...

Règle N°4 pour écrire un article : travaillez la forme

Lorsque l'on rédige un article, le contenu de la page Web doit être pensé aussi bien pour les lecteurs que pour les moteurs de recherche.
Il est donc indispensable de maîtriser certaines règles touchant à la structuration de l'information et de l'écriture Web.

La rédaction d'une page Web bien structurée passe par plusieurs niveaux de lecture hiérarchisés :

1er niveau de lecture : le titre de la page (balise « title »).

Lors d'une recherche sur Google, le contenu de ce titre (complété par le contenu de la balise « description ») offre le premier niveau de lecture à l'internaute.

C'est grâce à son contenu que l'internaute jugera si oui ou non, il cliquera sur le lien pour visiter votre site. De plus, le contenu de la balise Title a une importance capitale en termes de référencement. Sa rédaction doit être réalisée avec soin.

2e niveau de lecture : titres (H1, H2, etc.).

Les lecteurs étant pressés, ils « scannent » les pages. Ils vont donc scanner la page (de haut en bas) pour lire les éléments mis en relief (taille plus importante, mise en gras), c'est-à-dire les titres et les sous-titres.

Si ces éléments résument bien le contenu du texte qu'ils précèdent, l'internaute poursuivra sa lecture.

Dans le cas contraire, si le titre ou les sous-titres ne sont pas informatifs et ne correspondent pas à sa recherche, l'internaute poursuivra sa lecture sur le site du voisin.

Les titres ne doivent pas seulement décrire les contenus qu'ils précèdent, ils doivent également être spécifiques, c'est-à-dire contenir les mots-clés relatifs à la page.
Et ils doivent être concis, autant pour mettre en valeur les mots-clés qu'ils contiennent que pour satisfaire le lecteur pressé.

3e niveau de lecture : éléments mis en valeur.

En scannant la page, l'internaute portera aussi son attention sur le texte mis en gras et les titres intermédiaires.

Tous les éléments mis en valeur sont des étapes dans le parcours visuel de l'internaute.

Il est donc souhaitable de résumer chaque paragraphe par un intertitre et de mettre en gras les éléments les plus significatifs (en particulier les mots-clés). Comme pour les titres, ils doivent être rédigés de manière concise, informative et spécifique.

Retenez

Chacun de vos articles doit être mis en relief de manière homogène tout en respectant le principe de la lisibilité :

  • Présentez les différents éléments de vos pages de la même manière :
    - Mise en forme (gras, italique, couleur, majuscules).
    - Format des titres et intertitres (nombre de lignes avant et après, taille, couleur...).
    - Styles des listes à puces.
    - Polices de caractères utilisées.
  • Aérez vos textes :
    - Avec des visuels en rapport avec le contenu éditorial. 
    - Avec des espaces blancs.
    - Avec des listes à puces.
    - Utilisez une largeur maximum de 600px pour votre texte - 90 caractères maximum par ligne.

Règle N°5 pour écrire un article : Insérez des mots-clés

Le référencement éditorial d'un contenu unique et original est la base d'un référencement naturel réussi.

Après, ce n'est que de la technique !!!
Référencer un site Web (et non une seule page), c'est harmoniser son site pour obtenir un trafic qui augmente de mois en mois sur de nombreuses expressions-clés.

C'est un travail de longue haleine et vous ne devez compter sur des résultats probants qu'après une période moyenne de 6 mois.

Une bonne visibilité sur les moteurs de recherche s'articule autour de trois composantes :

  • L'accessibilité
  • La pertinence du contenu
  • La popularité

Le positionnement d'une page Web dépend avant tout des éléments internes de la page.

Après avoir rédigé votre article et choisi les expressions-clés sur lesquelles vous souhaitez positionner votre page dans les résultats de recherche de Google (ou d'autres moteurs de recherche), vous devez répartir ces expressions-clés au sein de l'article.

Cette répartition, associée aux autres facteurs internes de la page, tels que les balises (title, description), les URL, les liens internes et externes, permettra d'optimiser le référencement de l'article.

Pour en savoir plus sur cette partie, le référencement naturel, vous avez tout ce qu'il vous faut ici : boostez votre visibilité sur Google.

Le mot de la fin

Comme nous l’avons vu pour écrire un article, Il y a plusieurs règles rédactionnelles à suivre aussi bien sur le fond que sur la forme.

  • Fond : simple, concis, structuré
  • Forme : aéré, titre, intertitre, liste à puce, etc.

Bien entendu, la première chose est de faire attention à la qualité de son contenu, de s’assurer d’apporter une valeur ajoutée à son public cible. Mais est-ce suffisant pour écrire un article qui soit lu dans sa globalité ?

Pour ma part, je trouve que c’est dommage d’écrire un article pendant des heures. Puis ne pas prendre le temps nécessaire à sa présentation. C’est le meilleur moyen pour perdre des lecteurs en cours de route.

Puis, il ne faut pas oublier Google.
Toutefois, je vous conseille vivement d’écrire votre article sans penser au référencement naturel. Votre texte gardera son naturel.
C’est uniquement après qu’il faut réfléchir aux mots clés pertinents pour aider les internautes à trouver votre article via les moteurs de recherche.

Notre monde devient fou.

Si vous êtes sur ChatGPT, la belle tendance du moment, il y a de grandes chances que cet article ne vous intéresse aucunement.
Pour les autres, qui ne vont pas se contenter de la facilité, ce guide devrait pouvoir vous aider à écrire un article « humain », structuré, motivant pour votre audience.

Créer un article uniquement avec ChatGPT ne vous apportera rien de nouveau de ce qu’il existe déjà. C'est de l'IA, donc un algorithme. Si vous l’utilisez, essayez au minimum de l’humaniser en ajoutant votre propre inspiration, votre propre univers.

Sachez aussi que Google n’est pas dupe. Il va très vite remarquer que votre contenu a été généré artificiellement. Donc aucune valeur réelle pour ses lecteurs.

Déjà que la qualité d’écriture d’un grand nombre d’articles laisse à désirer,  la technologie d’aujourd‘hui nous encourage à ne même plus écrire une ligne.
Au lieu de relever le niveau de français, continuons. Ainsi, nous sommes certains que les générations futures ne seront même plus pensées par eux-mêmes….

Toutefois, je ne dis pas que ChatGPT est inutile. Cet outil peut dans de nombreuses situations vous faire gagner en productivité.
Et vous. L'évolution de l’IA, vous en pensez quoi ?

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